lundi 11 mai 2009

La grippe et la faim ou la grippe et la fin.

Jean est un homme satisfait, car, il à la satisfaction d’avoir jusqu’à présent bien réussi sa vie.

Il habite une petite maison fermette dans une petite rue d’un village en Brabant wallon.

Il a un bon métier grâce à une de ses qualités maitresse : savoir d’où vient le vent, ce qui lui permet comme une girouette, d’être dans le bon sens. Il a pu grâce à sa navigation, utiliser quelques passe- droits utiles à sa progression. De cette façon, il n’habite pas la ville « comme tout le monde ».

Jean, ce n’est pas n’importe qui, tout le monde le respecte et l’envie dans son service. Nombreux sont ceux qui ont pu admirer sa fermette lors d’un barbecue.

Ainsi, il peut se rendre chaque matin dans un bureau, et sa fonction à de la garantie, car il est nommé à vie en temps que fonctionnaire de l’état.

Heureux, car entouré par sa compagne, ses deux enfants, ses deux chiens, ses deux voitures, et son barbecue avec plein d’amis.

Jean est malin et prévoyant. Il a internet avec des jeux vidéos, mais il ne faut pas croire qu’il est bête.

Jean s’informe, et le soir quand madame regarde un film trop à « l’eau de rose » à la télévision, il s’enferme dans sa « pièce de travail », avec une bonne bière bien fraiche.

Il appelle cette pièce son « bureau ». Personne ne peut entrer, et de plus quand il quitte la maison, il garde la clé de la pièce refermée, ainsi close pour les regards indiscrets.

Il craint les investigations de sa chère et tendre, ou l’emploi intempestif de l’ordinateur par ses enfants. On ne sait jamais…..

Un jour Jean au gré du hasard tombe sur un drôle d’article intitulé « comment survivre en temps de pandémie de grippe ». Curieux de nature, il ouvre le lien. Il découvre l’article. Celui-ci parle d’une maladie mortelle : la grippe pandémique. Celle-ci aurait pour conséquence de priver les gens de ce qui les aide à vivre confortablement : l’eau, la nourriture, l’éclairage, le chauffage, la télévision, les matchs de foot, le travail, les écoles….car le nombre de personnes actives seraient malades ou mortes.

Bigre alors, il faut qu’il vérifie cette information, et il se met à taper frénétiquement les « mots clés », tout en vidant bière sur bière, la réalité se précise jusqu’au moment où un petit grattement sur la porte lui fait comprendre que madame l’attend pour aller dormir. À suivre…..

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